Timidement le soleil à l’horizon
S’élève peu à peu dans le ciel matinal
Illuminant les prairies de tous ses rayons
Les fleurs s’éveillent alors, nous offrent leurs sépales.
Etendues lumineuses s’étendent à l’infini
Offrant aux papillons une belle aire de jeu
Ces prés si verdoyants annoncent un printemps prédit
Et comblent nos regards dans le matin brumeux.
Un air printanier habite ces prairies
Coucous et boutons d’or envahissent le vert tendre
D’un jaune lumineux nos yeux sont éblouis
Dans ce havre de paix, les oiseaux se font entendre.
Et lorsque la nuit tombe, s’éteignent les couleurs
La quiétude de la nuit revient dans la noirceur
C ‘est l’heure où tout s’endort, la nature se repose
Pour demain mieux revivre à nouveau, en apothéose.
Arlette Abélard Noblet 02/04/2023