Quand je t’ai recroisé, après longues années,
J’ai bien réalisé de ne pas te connaître.
En quelques jours très vite, tu as fait renaître
Un espoir dans mon cœur, que je croyais damné.
A la tristesse alors, me croyant condamné,
Je n’imaginais pas voir le noir disparaître.
Le malheur et le vide étaient ma destinée.
N’y pouvant échapper, restait seul le paraître.
Et tu es revenu, amenant le soleil,
Apportant chaque jour un bonheur sans pareil
Dans ma vie étriquée, me rendant espérance.
Par ta compréhension, ta bonté débordante,
Tes douces attentions, ta voix réconfortante,
Tu es devenu port de ma vie en errance.
Daniel Dive, 17 avril 2024. Tous droits réservés.
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Science sans conscience n'est que ruine de l'âme (Rabelais)