Re: Le lac qui dort (Dédié à Douceur)-corrigé- désolé pour l'irrégularité des vers
De la tendre enfance, nous vient ce qu'il y a de plus haut, de naissant.
Les feuilles ne meurent pas et construisent d'autres jours,
Et la sagesse des temps qui nous instruisent, nous ouvre ses portes ;
De nous garder dans les valeurs, nous venons comme Dieu décide.
Dans ce jardin, tu es souveraine chère Aya, ta sensibilité est là et ton geste nous le montre à chacun de tes poèmes.
Tes mots arriveront à notre amie Renée.
EMA