Un poème triste pour les enfants du Liban qui ne connaissent que la guerre...
un pays magnifique dit-on, je le sais par mon père où il est parti depuis si longtemps, reste l'ombre d'un cèdre bleu sur ma vie, les rêves jamais ne meurent, merci poéte, sylvia
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Laissez l' esprit prendre toute son ampleur