Fabrizio, je t'avais senti génellaire au premier mot de ton premier poème, cela se confirme ce soir, puisque tandis que tu contais cette lutte je mettais en rimes ma propre histoire de combat...que je posterai ce soir-tu sais, Cendrillon poste à minuit, pas plus d'un poème par jour...
Très émue de ta lutte avec l'ange, de ta dualité qui te fait force, de ta volonté et de tes plaies, qui, oh combien je le sais, ne se fermeront, ou alors, peut-être, par miracle...
Si tu savais combien je me vois encore canetonne malhabile et moche, dondon de basse-cour, alors bien même qu'"on" peut me voir cygne aujourd'hui...
Merci de ta vie redressée.
Un baiser au Samouraï,
Sayonara, Scarlett.
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"Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue:
Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue.
Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler:
Je sentis tout mon corps et transir et brûler."
Racine, "Phèdre"...