"Et ces lèvres asséchées, cornues, oibliées,
Qui ne savent qu'embrasser,
cette onde claire ,
Se bruler de son sel,
Et me mentir encore, si j'en garde le fiel,
Les regarder s'ouvrir, impuissante,
Ces courbes abattues, abandonnées, mourrantes,
Les faire déclamer ce qui toujours me hante,
"Malgrè le temps qui passe, le vent qui lasse, le froid, et la joie, par le diable, je ne t'oublie pas;"
Cela nous transporte!
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