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Du fusil au regret A l´amour vagabond le coeur se fait écueil Un peu comme ce gond, où s´ébat un orgueil, Qu´est l´âme rouillée qui s´accroche à son deuil, Porte verrouillée nous tenant à son seuil.
Fourchette et cuillère au repas vengeance Qu´est le cimetière de notre indulgence Sont de bien laids couverts à la tolérance Quand poêtes et vers sont à l´indulgence.
Des siècles à tenir par la barbichette, Tant de faits à vomir, l´Histoire, coquette, Maquille chaque horreur en ode discrète Qui nous chante l´honneur, de gloire et conquête.
Le nez dans le ruisseau, il est tombé par terre, A Voltaire et Rousseau la faute naguère, Un innocent, le sort, ennemi ou frère, Mais toujours homme mort qu´un jour on enterre.
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