Plume d'or Inscrit le: 19/3/2009 De: |
message de la source Quand est-il de leurs vêtements rougis du sang des pauvres? La misère embaume leur habit, sans aucun remord. Ah! mes pauvres , vous qui nus pieds marchez, Sur un chemin parsemé de galets effilés, Vous peinez, vous souffrez, vos râles m'émeuvent. Je vois sur vos joues les larmes couler, Et tomber sur vos coeurs ruisselants. Ah! mes enfants, la misère vous écrase sous son poids, Alors que d'autres croulent sous l'opulence volée. Leur âme à disparu sous l'épais brouillard du pouvoir. Le partage, ils ont oublié, disparu dans l'illusoire profit. Ah! mes pauvres enfants! vous pleurez, alors qu'eux rient. Séchez vos larmes, votre coeur est grand, le leur est vide. Croyez vous que leur richesse suivra leur corps au départ? Alors que vous mes enfants, en votre coeur est ma lumière. Posé en votre coeur mon amour vous suivra pour l'éternité. Ne les jugez pas, car leurs remords seront terribles, Egaux à la souffrance qu'ils ont fait subir. Mes enfants, l'heure vient, où le sourire sur votre visage apparaît. L'heure où votre coeur s'illuminera de la lumière des cieux. Aimez, aimez, aimez, sul l'amour est guérison.
Guy le 24-12-2008
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