Entre fêtes et défaites.
Il est le cœur de l’univers
Vertige du déséquilibre
Libre et prisonnier de ses vers
Vers qui se ploie l’âme qui vibre.
Vibrant hommage aux métaphores
Formule étriqué de l’honneur
Au nord d’un axe qui se tord
Torture et plaintes en ce décor.
Correspondances anonymes
Oh ni message, ni sagesse.
Gestuel lent qui là décime
Six métronomes sans tendresse.
Dressons sa croix sur l’herbe rare
A rebrousse temps de son sommeil
Meilleur flux que son regard
Gare aux prisons, triste merveilles.
Veille sur lui, diable futé
T’es le gardien de son enfance
En ce matin exécuté
Terrible et seul, il se fiance.
Ensuite il prend le train fantĂ´me
Au mieux avec l’esprit serein
Se rince l’œil dans le royaume
Au milieu de ses chérubins.
Bain de foule et Ă©chappatoire
Toi riant fort de ses faiblesses
Blesse les rires du manoir
Noirs sont les lettres qu’il te laisse.
LOQUINET
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IL FAUT AIMER LA VIE POUR QUE LA VIE VOUS AIME
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