Ton appel du grand large est un hymne à l'évasion...Mostafa, il fût un temps où sur le port d'Agadir, je souhaitais moi aussi partir ce que j'ai fais pour m'en retourner chez moi... c'était l'appel de la terre ... je te relis avec beaucoup de plaisir, voguant sur des mers poussé par le vent du chergui
Un vent s'est échappé, un vent si pernicieux,
Un vent nous a quitté, un vent du feu de Dieu.
Un vent pas de chez nous, un avec des manières,
Une brise nocturne comme la "Martinière".
Et quand les "alizés" sur la mer nous transportent
Le ""chergui" du Maroc au loin ouvre ses portes.
quelques vents qui te mèneront qui sait où??
Bien à toi , amitiés Pampille
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Quand le poème a des beautés, quelques taches ne me choquent pas