Quand le sommeil me fuit dans la nuit ténébreuse,
Et que j’entends tinter la musique du temps,
Quand l’insomnie est là , présence dangereuse
Plutôt que les moutons, je compte mes printemps…
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Du début à la fin, je me suis régalé de cette lecture,
Isis, chère amie, tu as une belle écriture,
Il me tarde maintenant de découvrir les autres,
Assis au milieu d'un champ sur un fagot d'Ă©peautres.
Je ne compte plus mes printemps
Il y en a beaucoup trop,
Je te fais compliment
Et tire mon chapeau.
Chibani