« Ne fais pas ta conique,
Me disait-il tangent,
Ta surface est unique
Surtout bue en gros-plant »
Il gardait de l’époque
De ses transformations
Des images équivoques
De modélisations.

Aux formules appliquées
A des domaines abstraits
Il préférait mon corps
En travaux dirigés.
Ses droites directrices
D’émois adolescents
Etaient génératrices
De foyers convergents.

Il perdait ses repères
Pourtant si cartésiens
Au pays de Voltaire
C’est un continent,
Il allait dérivant
Sur de bancs de scalaires
Au fossés sous-jacents
Des Mariannes plongeant.

Et en fermant les yeux
Il me le démontrait
Mais un cercle vicieux
Ne peut se caresser
C'est pourquoi ce vocable
Limite équidistante
Me rendait incapable
D’être vraiment sécante.

Plus ou moins l'infini,
Projection idyllique
A dessein de croquis
Du plan zygomatique,
Et j’en ai pris l'éthique
De mon identité
Dans la ‘pataphysique
Je me suis recyclée !

----------------
Cultivez votre amour de la nature, car c'est la seule façon de mieux comprendre l'art! (Vincent Van Gogh)

Monesille,
Votre poème aurait-il une valeur subversive à visée disqualifiante ?
Pensez-vous par des pensées dérivées, atténuer d’autant la valeur de vos concurrents mais néanmoins amis, dont je suis ?
Que la rigueur et impartialité légendaire de notre jury fasse le reste !

Quant au contenu même de votre prose, il révèle combien le zébulon de vos neurones est parfaitement spiralé : ce dont aucunement nous ne doutions!

ben ! tous les sujets étaient pris......alors.........

----------------
Cultivez votre amour de la nature, car c'est la seule façon de mieux comprendre l'art! (Vincent Van Gogh)

Magnifique dessin mathématiques, merci de ce beau partage,

Félicitations et au plaisir de vous relire,

----------------
James