Elle subornait son appât
De regards ailés de loin
Dans la douceur des belles soies
Qui tombaient des cieux lointains.
Les mâtins gavant les jours
Vendaient leurs âmes au vent
Peignant les roseaux d'amour
Sous le pouffer du temps.
Ce temps ne fait que âme
Dans les yeux du vieux moqueur
Cherchant sa nouvelle flamme
Dans l'eau lui mouillant sa peur.
La peur de tous les défis
Qui revenaient de leur toit
Mourir sur le nouveau lit
Du serment imbu du choix.
Le choix tordu du doux feu
Consumant le bois d'avril
Sous les chapeaux rugueux
Des dards dépourvus de cils.
Les cils qui sont blancs et noirs
Sur la chair des pieds perdus
Dans les lueurs des miroirs
Qui erraient ailleurs, vendus.
mouhoub 2011
Ce poème m'est offert par farid khenat
farid khenat
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camping_vrai@hotmail.fr farid khenat
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À farid khenat
De : farid khenat (
camping_vrai@hotmail.fr)
Envoyé : mer. 06/04/11 20:29
À : farid khenat (
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Je ne suis pas un chauffeur de taxi. et je ne suis pas med et non plus Nicolas et mohamed.
Désolé !