Des champs voisins se distinguaient
les clair braillements d'un troupeau
le bruissement de l'eau filait
coulant de source à son ruisseau
C'était le temps des cerises
printemps de mai,fleurs et bourgeons
pendant ce temps dans les collines
aux pieds des arbres nous nous aimions
L'odeur du thym fleurait l'espace
l'abeille butinait les lavandes
senteurs noble de notre provence
sur nos baisers dans l'herbe basse
Et quand le soir nous dûmes rentrer
les cheveux tout plein de prairies
nous eûmes cet endroit attitré
de nos amours belles et fleuries.
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Je ne laisserai sur le papier que l'ombre de mon écriture,juste le soupçon d'une pensée de mon imagination la plus pure.