Mes chers petits, souvenez vous
Lorsque vous grimpiez sur mes genoux.
Nous restions là blottis au creux de mon lit,
Tendrement enlacés, de tendresse, bercés.
Les jours se sont enfuis et vous avez grandis,
Vous, mes chers petits.
Un jour je serais vieille. Vous, jeunesse vermeille,
M’aimerez vous tendrement, moi, votre maman ?
Le temps passe comme un météore et mon air s’évapore,
Mais je vous aime encore de plus en plus fort.
Même si mon visage se ride, mon cœur jamais ne se vide
De ce trop plein d’amour que je vous offre chaque jour.
Et vous, mes chers petits, quand je serais partie,
Si mes lèvres effleurent votre joue de velours
Que ce baiser y demeure encore et pour toujours.
M. P. 28/01/2004
Petit texte écrit il y a déjà 7 ans pour mes enfants Karine et Guillaume
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nos amis sont des anges silencieux qui nous remettent sur pieds lorsque nos ailes ne savent plus comment voler.
