Un grand soleil m'observe par le reflet des eaux
deux trois galets jeté ricochant en tranchoirs
ridé puis renaissant d'un plus parfait miroir
sur le sol d'un endroit où les rêves sont moins beaux
Un géant derrière moi,cette ombre est née de l'arbre
s'admirant à l'envers comme sortant de l'eau
au devant du sommet d'un gouvernant de marbre
aux roches de ce roc faisant rêver plus haut
D'herbes et une à une contre un manteau à soi
recouvrant d'harmonie l'apaisante singulière
l'offrante par défaut en défi de sa foi
que chacun puisse nier sans connaître une prière
Un voeu doit se permettre pour enfin faire corps
s'abstenir par le fait qu'en ce ciel est mon toit
quand l'obscur soir sera je n'y serai qu'encor
pour aimer et songer puis j'ai pensé à toi.
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Je ne laisserai sur le papier que l'ombre de mon écriture,juste le soupçon d'une pensée de mon imagination la plus pure.
