Mascotte d'Oasis Inscrit le: 25/2/2010 De: |
Marie-France de mon enf(r)ance.
Marie-France de mon enf(r)ance.
Dans ma jeunesse j’avais une fidèle amie prénommée Marie- France, C’était vraiment une très bonne copine depuis ma plus tendre enfance, En classe elle était première en toute matière, attentive à longueur de jours, Moi, j’étais premier en rien, sauf à m’élancer pour la sortie des cours.
Pour m’aider à réussir mes examens elle venait m’apprendre la géographie , Alors que je me passionnais plutôt à tendrement découvrir sa topographie .
Quand elle me laissait retrousser sa jolie robe de l’Ain jusqu’au plis de l’Aisne, De désir soudain elle me rendait fou Allier et me faisait perdre haleine.
Je devinais alors son petit Massif Central Ă travers sa cu Lot et Gar on ne Pouvait pas y toucher sous peine de vexer cette jeune et prude personne.
Des années plus tard, elle eut pour envie de chez et en elle me recevoir, Acceptant avec joie son invitation, je fis tout pour ne pas la décevoir.
Dans notre passion elle était parfois ma tigresse , plus fréquemment Ma yenne, Mais je me faisais un tendre loup docile sans résultat ,qu’à cela ne tienne
Pourtant d’attentions, de tendresse, pour elle je n’avais pas été à Var , Telle une princesse je lui avais offert multiples attentions et tous les égards.
A part de beaux et tendres souvenirs que me reste -t- Ile de France , Bien des soucis, des tracas ainsi que beaucoup de moments de souffrance.
Mais il a fallu que jour après jour notre histoire si belle se Corse , J’avais beau faire mine de rien, la tête haute et en bombant le torse
Pour des raison professionnelles nous étions allés vivre dans le Tarn , Mais loin de sa famille elle se changea vite en mégère et en vieille carne.
Je lui proposais alors de retourner résider dans le Tarn et Garonne , Plus près des siens je pensais que ses attentions redeviendraient plus bonnes.
Même sur plan musique nous n’étions plus sur la bonne longueur d’ondes, Moi j’aimais léonard Cohen, elle était fan de Stone et Ch Ardennes .
Elle arriva à ne plus jamais me regarder, me parler et à l’in Fini stère, Ce comportement me désorientait et me laissait en plein mystère.
Puis ce fut du matin au crépuscule et du soir jusqu’à l’Aube des dissensions, Vouloir me mettre en rogne était devenu l’unique objet de ses intentions.
Cant a l amour il était définitivement parti pour des ailleurs faire un tour, Et ne devait jamais plus revenir pour une heure ou pour un simple jour.
Nous deux c’était quand même un drôle de couple et une sac Ré union , On ne peut pas dire que nous étions en parfaite entente et bonne fusion.
Je me remémore tes nombreuses attitudes souvent puér Ille et Vilaines, Qui aurait bien pu changer mes sentiments en mépris et en haine.
Je ne distinguais plus en ses yeux pour moi ses regards habituels si Doubs, Face à une telle indifférence, je n’arrivais même plus à être jaloux.
Et elle ne m’attribuait plus aucune considération ni marques d’é Gard, Ne bronchait pas malgré mon désarroi visible dans mes yeux hagards.
Quand elle se mettait en colère elle rugissait comme une l Yonne, Pour avoir la paix il eut fallu que je m’en aille ou que je la bâillonne.
Elle ne me voyait plus comme autrefois son noble et unique HĂ©rault, Mais plutĂ´t comme un moins que rien, pour tout dire un blaireau.
Finalement toutes ses belles pensées et promesses de fidélité elle ab Jura, Ce n’est pas avec son manque de constance que son âme grandira.
Je me rendais enfin compte de ce que sa parole pouvait va Loire, Elle n’avait absolument pas de quoi en être fière ni en tirer gloire.
Mon cœur dur comme le chène est plutôt fragile comme b Alsa ce soir, Ce qui m’amène à penser mélancolie et à complètement broyer du noir.
Mais quand elle m’a quitté pour moi le malheur est arrivé et le Pyrénées, Alors que je croyais qu’elle serait mienne pendant de longues années.
En secret elle avait conservé un précieux atout dans sa Manche, En la personne d’un nouvel amant qui vint la chercher un dimanche.
Je compris que depuis quelques temps déjà je devais porter des c Orne, Cette fois-ci elle avait vraiment dépassé de bien trop loin les bornes.
Ainsi elle avait bien gardé son sang froid et nullement perdu le Nord, Tandis que moi, éberlué et tout éperdu de surprise je me revois encore.
Elle m’a laissé seul sans re Mor bihan tête ainsi elle m’a abandonné, Sans pour autant me restituer tous les cadeaux que je lui avais donnés.
Pendant quelques temps j'aurais pourtant accepté qu'elle me re Vienne, Mais j'eus beau attendre des années, cette décision ne fut jamais la sienne.
Souvent je pense à toi et je me demande A qui tai ne ouvelles amours, Des miennes tu n’en as plus aucun souvenir et en as fait tout le tour.
Mon esprit tu l’as complètement bouleversé et Puy de Dôme ages abimé, En le contraignant au très grand vide et en le laissant si déprimé.
Je crois savoir qu’elle traine dans les rues et avec sa val Is ère, Vivant d’expédients plus ou moins grandement dans la misère.
Il semblerait qu’elle ait raté sa vie et actuellement dans le Nor mandie, Je n’en suis pas bien sûr mais c’est pourtant ce que l’on m’a dit.
Je sais qu’elle n’est pas courageuse au travail car elle Alpes tit poil dans la main, Ce qui l’empêche de bien réussir sa vie et de mener richement son destin
Sans domicile fixe elle doit dormir à même le sol sur des p Aveyron , Végétant ainsi comme une pauvresse, démunie sans le moindre rond .
Pour survivre elle se livre à des actes malhonnêtes, souvent pas bien jolis, A ses risques, la France n’étant pas pays de crimes ni Terre Adélie.
A l'heure actuelle elle doit regretter sa légèreté et ses erreurs la Marie, de ceci j'en ai une grande conviction sans aucune hésitation je le Paris.
Je lui avais prédit que son existence risquait de ne pas être fa Meuse, Que pour accéder au bonheur sans moi il faudrait que la tête elle se Creuse.
Aude meurant de m’éjecter un jour de son existence, tort elle eut, Et aurait dû me garder même si de son cœur je n’étais plus l’élu.
C’en est terminé de notre splendide histoire d’amour en Somme, Elle ne me prendra plus pour un fieffé imbécile ni pour une pomme.
Malgré tout, mes bons souvenirs je les garde en moi, je les em Mayotte, Pour les conserver au plus profond de mon coeur tel au fond d'une grotte.
Cris Tolpac
Moralité : femme qui te dit la main sur le cœur qu’elle t’aimera toujours et que tu ne verras jamais son dépar te ment !!!
N.D.A. : Page d'écriture dédiée à celle qui m’envoie des fleurs …malades !
FICTION
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