J’ai tant contemplé ton miroir
Que ma vue s’est remplie
Des courbes de ta beauté
Que tes longs cheveux
Ont l’odeur de ta volupté.
J’ai tant contemplé ton miroir
Que ma poésie
Pareille à une statue,
Demi réelle,
Vient de s’enfuir
De mon cerveau.
Pierre-Louis SESTIER
----------------