Lorsque vos plumes d’or déversent leurs poèmes,
Inondant nos esprits de toutes vos douceurs,
Mon âme alors sourit oubliant les noirceurs
Pour vous dire séant, mon plaisir sur vos thèmes.
Mes neurones du cœur, fourbissent leurs barèmes
En quête des plaisirs fugaces et farceurs,
Etalonnant vos vers en beautés et noirceurs
Pour dire que je hais les paroles extrêmes.
A vous lire au matin, lorsque la lune part,
Je découvre soudain à l’abri du rempart,
Ce que vous écrivez de votre encre si belle.
Et puis quand j’aperçois votre cœur mis à nu
Sous les yeux ébahis de mon âme nouvelle,
Je bénis tous vos vers comme un pauvre ingénu.
Capricorne, le 15/10/2011