de tes vertèbres
j'ai déplacé l'émail
l'été coulait ses lèvres
au levant
la nuque en rosée
j'élevai figure
et dressai l’appendice
des moussons au fusain
le ruban des épaules
fleure le lys
grassement il s'étire
l'aumône du bassin
cent ombres
sans dessin
le regard nu
et tes pieds
à l'accroche calcaire
sur papier glacé
une brèche
au marbre soiffard des peaux