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Expéditeur Conversation
TRAPER
Envoyé le :  18/1/2012 9:32
Plume de platine
Inscrit le: 9/11/2008
De: Casablanca.
Pour en témoigner...
…Les batailles
se succédèrent les unes aux autres et tandis que nous affrontions de nouveaux périples ; une faille

Se creusa entre le sentiment de ses hommes avides de pouvoir et la résistance de nos forces ténues,
Nous repoussâmes leurs élans, découragèrent leurs percées, enflammèrent leurs ailes jusqu’à ne plus
Apercevoir que le tumulte des vents et des marées, des pluies et des brasiers qui réchauffaient des terres
intérieures jusqu’au littoral les contrées ensoleillées du sud du continent. Le moment était
Venu de nous séparer de nos hôtes et cela ne se fit pas sans une tristesse et une peine que nous
Eûmes bien du mal à contenir, mais loin de refuser de nous accoutumer, nous nous étions jurés, doux
d’accompagner nos dignitaires jusqu’à leurs tribus qui n’avaient eu de cesse de nous prier de les chercher
afin que ceux-ci puissent retrouver les leurs et se réjouissent à leur tour de tant d’aventures, de
découvertes et de partage en l’amour des êtres qui leur étaient était si chers ; nous amarinâmes, fiers
après de longs mois d’une paisible et non moins active retraite sur une mer bienheureuse et apaisée
des quelques relents de fraternité et d’optimiste que nous avions accomplies durant notre séjour. C’est
Au lever du jour que mon second vint, en grande hâte, me réveiller pour m’enjoindre de sortir, pressé

De ma couche et d’arpenter l’escalier qui menait à la timonerie. Ce que je m’empressai d’exécuter
Sous le regard attentif et encourageant de ma compagne lorsqu’arrivé sur le pont supérieur, habillé
A la hâte, je vis à ma grande surprise qu’une réunion se tenait ; nous avions vogué quelques milles et
nous approchions de ces falaises au pied desquelles nous avions affronté durant l’année écoulée
Cette tempête inévitable qui avait alors ruiné nos espoirs les plus fous. La conversation plus qu’agité allait
bon train entre mon équipage et les chefs des tribus qui s’étaient soudainement insurgés
Contre leurs serviteurs en prétextant qu’il s’était accomplies de longues nuits depuis leur délivrance et
que personne n’avait même songé à leur apprendre à naviguer ; chose contre laquelle mes

Hommes s’étaient spontanément élevés ; se sentant comme menacés dans leur propre fierté d’être
déchus de leurs privilèges et de leurs fonctions, je dus expliquer à ceux-ci qu’une telle entreprise ne
pouvait causer aucun dommage pourvu qu’elle soit menée avec les plus grandes précautions et
c’est ainsi que je vis avec une jouissance inouïe nos merveilleux moussaillons prendre avec moultes
précautions la direction des apprentissages qui allaient nous conduire ; bienheureux, devant les plages des
villages de pĂŞcheurs boutous, qui accueillirent avec une indescriptible ferveur leurs chefs en une explosion
de joie sans précédent, les uns sautant de leurs pirogues nageaient tels de véritables enfants dauphins
jusqu’aux abords du galion, les autres entonnant des chants d’allégresse sur les plages, d’aucuns se
jetant à la mer, nous fûmes, ce jour là, abordé par un tel bonheur que nos cœurs en liesse nous firent
oublier nos déboires, nos chagrins, nos regrets, nos désespoirs et nos bravades passés, nous
transportèrent en de merveilleuses retrouvailles, que ces chants, les danses et les embrassades, les
empoignades et les étreintes marquèrent à jamais et gravèrent en nos mémoires en un si vif réconfort
que notre humanité en eu été renforcée jusqu’à la fin des temps s’il se pouvait que nous soyons forts,
et aujourd’hui encore vivant, pour en témoigner….


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