A cette date que tu penses. Qui ne reviendra pas. A cette fille qui danse, en marge du calendrier. Et cette mort aux yeux, cent fois dans l'autobus. A ces deux mains, sans toi, qui sèment des soleils. Et qui les font chanter… Silence !
Aux phrases à jamais, que l'on ne lira pas. Avec cette canicule au long de son emprise. A ce mois de juiller, louche d'un temps de bise. A ce vide qui dure bavard de tes bras. Silence !