Plume de soie Inscrit le: 3/11/2011 De: |
embrassez qui vous voudrez embrassez qui vous voudrez
le printemps lambinait sous le cerisier
le tournis
et des lèvres étaux, ensevelissantes la marque des reins comme pétale poète, non j'ignore la poésie
l'eau ruisselle à ma gorge bruira t'elle? l'alerte des saisons est rétive elle claque du talon je m'anguille, languis jusqu'à l'assourdissement la fleur hèle sous le vent porte t'elle sa croix? deux inuits poste des lotus sous la craie la banquise s'interroge et des eaux et des particules des bateaux gouleyants au sucre inachevés
"interlude"
juste une once de liasse>
et des vers en jachères sans canar , sans absolution, sans omission le crétin déboite, emboite la chute des veaux faut croire que cela conserve <<<<et des uns au rut mièvres belligérant, caracolant dans l'épaisseur des mots, les autres s’abâtardissent dans les prés salants, bêêêêle le vent>> Newton et sa pomme la gravité! je me pâme sous-pèse la laitière: 1666 pommes. combien de pommiers? bêle le vent hurle mes chimères jusqu’à déchirer l’écho il n'est plus de cimes épaisse, de gargouillis dans l'ombre il n'est que succion, que méprise absorbée, bue dans la simulation non, mon sang sue, se déshabille alors venez! digérez à mes canaux la lune y est pleine
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