Paroles qui se taisent,silences aux souvenirs
coeurs battants richissimes aux enfances perdues
étions-nous bien réels présent plein d'avenirs
ce temps-là ceux des frères d'estimes assidues
Jeunesses éternelles,précaires pubertés
étions-nous de ces fous aux tourmentes des vents
indomptables félins sauvages et liberté
des traces destinées au sang des liens d'avant
Si la vie persévère le temps n'attend personne
la mort n'est qu'un futur que l'on aura passé
l'insolent galopin s'assagit et raisonne
et devient le soucieux d'un insouciant pressé
À se savoir si fort,d'hommes par la pensée
en ce jour nous le sommes tant moins solides pourtant
parce que des bleus au corps puisque sans au passé
en cette date j'opte à nous écrire d'antan
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Je ne laisserai sur le papier que l'ombre de mon écriture,juste le soupçon d'une pensée de mon imagination la plus pure.