Le vent gémit dans la plaine
Furtif écho à peine dévoilé
Le son presque sourd
D’un ange qui chantait
Bonheur, idéal,
Emprunt de volupté
Qu’un réel glacial
S’amuse à voler
Et tisse le lien
D’un air détaché
A l’accent d'idéal
Qu’on donne à la beauté
Moi, je trouve bizarre
Que la reine des Fées
Ne trouve à cet égard
Pas d’autres vérités
Volant l’inaccessible
Le hasard est partout
Et s’amuse du vide
Qu’il laisse derrière nous
* Bonheur, violence,
Sentiments étourdis
Tissant en apparence
Des valeurs paradis
* Lumières, ombres,
Quand je suis révoltée
Un astre vient au monde
Un autre disparaît
* Oh Mère !
Reine de l’univers
Regarde tes enfants
Transits dans la colère
Qui n’osent même un chant
Fébrile d’harmonie
Et crache le néant
Sur cette comédie
L’enfer ouvre ses portes
Et couvre de velours
Des âmes inassouvies
Mais en quête d’amour
Il offre au flambeau
La force du mépris
Jetant aux flammes
Leurs âmes déchirées
Qui brûlent par les armes
Eux même soulevées
Ho toi !
Mère de l’Univers
J’embrasserai ton front
Pour que tu nous libères
Des astres qui défont
Les prières de la terre
En des gouffres profonds
Que d’autres cieux enterrent
Et tel un enfant
Qui ferme les paupières
Je dormirai tremblant
Au cœur de tes mystères
Accordons au suprême
Le miroir de la vie
Des cris qui vont et viennent
Mais s’unissent aussi.

Arwen24

belle profondeur
merci
A

C'est merveilleusement sensible et l'univers te dira merci car il te voit il t'écoute il t'aime.

merci pour ce voyage.......... j'adore l'univers car il a la même taille que Dieu.

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“L'homme est un animal domestique, l'animal est un homme libre” (Shovnigorath)

l'image me fait rêver, et puis cette chute aussi,
oui ...... aussi, qui s'unissent Arwen.

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[La nuit des rois, les femmes seront reines]

http://leaviola.blogspot.com/

"Nous sommes corps à corps nous sommes terre à terre
Nous naissons de partout nous sommes sans limites" PE

"* Oh Mère !
Reine de l’univers
Regarde tes enfants
Transits dans la colère
Qui n’osent même un chant
Fébrile d’harmonie
Et crache le néant
Sur cette comédie
L’enfer ouvre ses portes
Et couvre de velours
Des âmes inassouvies
Mais en quête d’amour
Il offre au flambeau
La force du mépris
Jetant aux flammes
Leurs âmes déchirées
Qui brûlent par les armes
Eux même soulevées"


"J’embrasserai ton front
Pour que tu nous libères
Des astres qui défont
Les prières de la terre
En des gouffres profonds
Que d’autres cieux enterrent
Et tel un enfant
Qui ferme les paupières
Je dormirai tremblant
Au cœur de tes mystères"

waww...une bombe! merci