APRES L’ÉPÉE, JAMAIS IL N’ARBORA UNE FAUCILLE
Les jours les saisons
Tapent fort tels des grĂŞlons
D’or sont les galons
Hiver comme été
Mélancolie puis gaîté
Instants de fierté
Le chevalier tire
Son épée manche saphir
Pour bien resplendir
Toutes ses conquĂŞtes
Menées dans la joie des fêtes
Sans besoin de quĂŞtes
Après les printemps
Deviennent traîtres les temps
Il change de camps
Il range ses billes
Ses « c » perdent leur cédille
Vile est la faucille