Qui dira le poids de l'absence
Et la densité du silence
La douleur dans sa violence
Les cruelles réminiscences
Quel baume pansera la blessure
Apaisera la déchirure
Viendra ressouder la fêlure
D'une aussi brutale rupture
Alors, le Temps, dans sa clémence
S'est avancé, sans turbulences
Et, par son infinie patience
A préparé la résilience
(L'Amour menaçant - Falconet)
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Ouvrez l'oreille, chaque mot possède un coeur qui bouge. (Nimier)