Moi qui ne suis pas homme fourbe
Et l'homme bon comment est-il ?
Sait-il des autres quand lui se courbe
Que naître honnête est né subtil ?
Candeur nature et grandeur morte
Nue dévêtue à son contraire
Avortées de quelques mains fortes
Qui dans le temps étaient un frère
L'époque une aire une nouvelle
Cerveau devenu la cervelle
En réflexion destituée
Et quand vieillesse rejoindra
Nous serons l'homme qui se plaindra
Et nos enfants habitués.
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Je ne laisserai sur le papier que l'ombre de mon écriture,juste le soupçon d'une pensée de mon imagination la plus pure.