J’ai crié ton nom pour que tu vives longtemps
Et que la repentance soit entendue par tes enfants
De tes montagnes s’est élevée la voix de la Liberté
Sur tes rivages le souffle rauque d’un pardon est écumé
La justice de Dieu a voulu laver ta terre
Par le sang pur de Ses serviteurs
Blessés dans la chair mais pas dans l’honneur
Tel est le prix du devoir du frère et de la sœur
Ils sont morts, disent-ils, on les a assassinés
Non ! Ils sont vivants pour l’Éternité
Ta force réside en tes Hommes, dans leur certitude
D’échapper puis de bannir les servitudes
Ton chant s’est élevé au zénith, là haut
Et les oiseaux comme un arc-en ciel le reprennent en écho
Je me souviens de cette lumière, de ce soleil d’été
Qui te confondit avec l’aurore et sa beauté
Certains ont voulu te souiller, au nom de slogans pieux
Ils n’ont fait que te grandir davantage à nos yeux
Les martyrs sont là pour hanter ces égarés
La conviction ne s’ébranle pas par la haine et le sordide déchaînés
Ton histoire a fait rêver tant de conquérants
Car tu es l’exemple et ce depuis la nuit des temps
Tu donnes l’espoir à ceux qui vivent encore sous le joug, meurtris
Pour cela je crie ton nom pour que tu vives : ALGERIE
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Poète citoyen universel
Mon 2ème ouvrage, un recueil de poèmes est paru ce mois dans les Editions (numérique et papier) EDILIVRE - FRANCE.
Merci au site 'oasis des artistes' pour sa rampe de lancement.