Les enfants parfois sont cruels
Qui nouslaissent seuls sur le bord du chemin
Ayant rêvé leur vie plus belle
Sans tenir compte des affres du destin
Leur absence est une douleur sans fin
Faite de souvenirs maintenant incertains
De réminiscences parfois si dures
Devant ce reniement qui perdure
On revoit leurs cheveux d'ange
Quand la n'était si étrange
Que les jours coulaient enchantés
De voir leurs petits visages aimés
Pour nous, ils sont restés petits
Dans notre pauvre coeur endolori
Pour nous, ils restent sur le fil
De nos souvenirs indélébiles
On rêve d'un retour sans détour
De pures et douces retrouvailles
Pour retrouver cet amour pour toujours
Un amour si grand et non de paille
Savent-ils la douleur infinie
Qui brûle chaque jour de notre vie
Savent-ils le dénuement extrême
Que laisse ce silence de traîne
Les enfants parfois sont cruels
Et ne laisse qu'incommensurable chagrin
Quand leur révolte est celle
Qui nous laisse effondré, ô combien
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Ce que j'ai appris je ne le sais plus, le peu que je sais je l'ai deviné
