Pourquoi.
Je n’ai plus ni maison où aller
Ni lit pour me coucher
Pas même un peu de linge repassé.
Ma vie, prison sans murs gronde
Comme une mer de chagrin profonde
Où s’en est allé un rêve de premier mai.
Un jour l’histoire nous dira pourquoi
Je ne sais que faire de mes bras.
Pierre-Louis SESTIER
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