Bonjour Monsieur,
Bonjour Madame,
Je cherche la rue « François Villon »
Celle des pendus
Des crocheteurs
Des filles qu’on dit perdues
Soyez les bienvenus
Attendre sans espoir
Non avenu dans un cœur nu!
De l’art urbain
Suis un compte en peaux de rien
La rue cruelle
La rue ruisselle
De comptes en banque
De culs de sac
Et d’insolence.
Ayez pitié de moi,
Quand vous passez
Dans ma rue.
Pierre-Louis SESTIER
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