Quand vient la nuit qui me tourmente Elle est sans peur et prend son quart. Sans caprices, ma belle Amante Est ce doux havre au fort rempart.
Reconnaissant de cette rente Je me fais, lors, bien moins fêtard Et je m’en vais jusqu’au puisard Pour y plonger d’humeur charmante, Sans caprices, ma belle Amante.