Bonsoir ma douce Arwen...
Plus je te lis et plus je m'émerveille par la magie de tes Vers, par la beauté de ta Poésie et par l'Amour que tu lui portes. C'est avec la passion de l'âme et la douceur du coeur que ta plume se livre en poésie.
Et si tu continuais toujours d'écrire ? Rien que pour faire évader encore et encore nos esprits...
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Le poète vit d’or, de cendre et de silence,
Etouffant dans la nuit le cri de ses passions,
Pour écrire en un mot, douleur et confession
D’une âme tourmentée par l’éternelle absence.
Ses mains déchirent chairs, rivières et vengeances,
D’un seul trait vacillant entre espoir et fission
Comme un métal précieux dont la lente oppression
Engouffre ses sanglots dans un feu de démence.
Le monde émasculé mastique ses vers fous,
Empanachant ses jours de furieux dithyrambes
Où trébuchent trochées, césures et grigous.
Adonc, s’éteint le vent, édenté et distant,
Qui sépare les mots, que le poète enjambe,
D’un pas rasséréné par la paix d’un instant.
Francis Etienne Sicard
Je t'embrasse,
Bien à toi
Emy.
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J'ai toujours été passionné par le mariage de l'ordre et du désordre, que ce soit l'un qui produise ou perturbe l'autre, ou l'autre qui produise ou perturbe l'un.
François Morellet