Modeste hommage à une belle âme et poétesse de talent .
Muse qui muse au gré d’une brise éthérée
Affriole, attise encres confuses mais révérées
Rimes enchanteresses valsent sous ses airs
Yeux en allégresse se recueillent en ses vers
Jumelle avec grâce, vous l’aurez bien saisi
Ouïe de la poétesse et chant de dame poésie
Charme et candeur à l’âme, dévoile sa plume
Y fléchit sciemment mon âme qui s’embrume
Rêve, sous ses mots, s’en mue en évidence
Avec elle, sous émoi, s’émerveillent les sens
Elle sait même le temps figer lorsqu’une rose
Luit et vit à jamais, quand pour elle, elle pose