Le glaive funèbre de la rampante haine
Brandit parfois le mot qui blesse mortellement,
Mais son estocade n'effleure plus qu'Ã peine
Un cœur laissé pour mort il y a bien longtemps.
Tes mots sont lourds chère Poétesse ... ce vilain printemps accentue
les douleurs... Puisse enfin les beaux jours rendre à ce coeur laissé pour mort, un regain joyeux de vie.
Il est bien triste ton poème,
Tendres pensées pour toi !
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« La poésie - par des voies inégales et feutrées - nous mène vers la pointe du jour au pays de la première fois.  »
de Andrée Chedid