Re: La lune rougissante.
J'ai adoré dès les premiers vers ce "baiser volé inoculant la fièvre" et très vite l'étreinte passionnée, ces "ébats insolents" dont la lune rougit. L'oxymoron "l'embrassa auréolé d'envie de pécheresse" renforce le contraste précédent: "Mon corps tendresse" "affolé" mais néanmoins "affriolé. Assonances et allitérations confèrent à "Lune rougissante" la musicalité d'un élan spontané, bref mais qui acquiert cependant une dimension intemporelle.
Merci du partage et bravo.
Mes amitiés.
Val
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Valérie Urso