Fouet des sens endormis
Réveil qui ne s'arrête
Le cœur ne vit qu'à demie
Le corps mène sa quête
Tout est à la chaleur soumis
Se déchaine alors la bête
Repu, cœur et corps sont amis
Bonjour la joie, bonjour la fête!
Insatisfait, les sens insoumis
Se rebellent, lourde défaite!
Le douloureux combat est remis
Et Désir ne quitte le summum de sa faite