Lumineuse ma nuit et mes yeux étoilés
Le néant plus à l’Est a couché Zoroastre
Suis-je cet homme heureux aux songes entoilés
Hors des schismes voulus sur le feu du désastre ?

Comme il plaît à venir je l’espère l’amour
Transcendant l’irréel qui drape l’invisible
Et j’écoute l’écho de la nuit dans le jour
Qui me crie : salam faible cœur prévisible !

Et je lâche penaud le grand sabre du bien
Qui n’a que peu livré sa bataille à l’infâme
Mais cet écho me dit que c’est avec un rien
D’éveil que je pourrais un jour sauver mon âme.

P.S/ J’ai fait le vœu de partager, à chaque aube, trois quatrains écrits à jeun, espérant pouvoir en faire 90 à la fin du ramadan…Pour l’amour de la poésie.

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Prière ne pas remonter mes anciens textes, merci
Le tagastin: quand on vit d'amour et de vers, il faut assumer ses coliques!