Dans la tiède atmosphère
L'édredon sue mon corps
Toi à me satisfaire
En va et vient accort
Je me laisse bercer
À en perdre mes forces
D'un état carencé
Nos cadences s'efforcent
À mes ouïes si fragiles
Le silence bourdonne
À moi tu danses agile
À toi je m'abandonne
Essuyant ma paresse
Comme un blessé au front
Par cent douces caresses
Qui se penche à mon front
Guidé aux mouvements
Mon souffle s'accélère
Soulagé suavement
Ma vision est stellaire
La nuit s'annonce longue
Et la semaine chèvre
Puis le charme retombe
J'ai quarante de fièvre .
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Je ne laisserai sur le papier que l'ombre de mon écriture,juste le soupçon d'une pensée de mon imagination la plus pure.