Excusez moi sur ce poeme pour mon langage de charretier, mais qui dit Renaud....

Du Renaud ou du Renard...

Salut à toi Renaud, très cher Monsieur Séchan
Tu l'as pas vu venir, cet insidieux, ce vent
Tu t'es pris un mistral pas tellement gagnant
T'es tombé sur "perdu" à t'en niquer les dents.

Tu les savais pourtant, la Blanche et Maryline
Petite conne, Manu et la sister Morphine
Comme un putain d'camion, comme un boucan d'enfer
Quand j'pense à toi Pierrot, y'a des larmes plein ma bière.

Et ben voilà mon pote, je te fais une bafouille
Tu la liras surement, je sais que t as les couilles
Au bistrot des copains, tous férus d'apéro
A toi et Rouge Gorge, je vous paie un pernod.

T'as chanté Société aux mois de l'Hexagone
Le Titi et sa mère et même petit pédé
Les drapeaux à la con et la Tire à Dédé
Fatigué de gueuler, tu t'es rendu aphone.

A Jonathan et moi, elles nous manquent tes chansons
On est Morgane de toi quand face aux Charognards
Tu racontais Sliman, Deuxième Génération
Et les Cinq cents connards sur la ligne de départ.

Au coeur de tes Bastons t'étais vraiment La Teigne
Et ta Gonzesse pleurait quand tu prenais la mer
Quand t'écris sur les femmes chaque fois le coeur saigne
Sauf peut être, mise à part, Margareth Tatcher.

J entends Gerard Lambert sur sa belle mobylette
Petit prince de mes deux et le chaperon rouge
Que j aimais les histoires de la pauvre Pépette
Et Minette marche à l'ombre quand pue la Banlieue Rouge.

Jasmine et son jasmin, encore une autre reine
La plus belle à tes yeux c'etait quand même Germaine
Dans ses airs de Java ou encore de Tango
Quand tu séchais ton Beauf et sa connerie d'Ego.

Je déteste le travail, la justice et l'armée
J'aime plutôt tes ballades très très Nord-Irlandaises
D'avoir perdu mon flingue, je t'assure, ça me pèse
Me restent l'Oranger et tes beaux fruits sucrés.

J'aimerai avec toi, je fais rien le dimanche
A la pêche à la ligne, m'emmêler dans les branches

Aller salut l 'Artiste
Plus te voir me rends triste


Ce poème vous a pas plu
N en parlons plus......

.... TA-TA-TAAAMMM


Anamorphose


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Et une petite histoire comme je les aime lol

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Je suis un cartésien désabusé : Je pense, donc je suis mais.... je m'en fous

La solitude aspire dès lors où nous aspirons à être solitaires