Si dans cette course vers le Paradis
tu veux gagner du temps,
t’assurer d’être parmi les Promis
jusqu’à la fin des temps,
vas-y, dépêche toi, rattrape ce mendiant
devant lequel tu es passé, indifférent
à sa peine, à son chagrin, à sa misère.
Passerons toutes les richesses de la Terre
une seule obligation te retiendra :
rattraper le mendiant
devant lequel tu es passé sans le voir,
gentiment venir à sa rencontre, le saluer,
lui donner amour et espoir.
Alors, au bout de ta course,
l’Eternité sera ta récompense,
ainsi qu’un bonheur immense
et sans fin.

Bonjour Stratton

J'ignore si d'aider son prochain ou plus démuni ouvrira la porte du paradis, je sais une seule chose, il faut apprendre à les regarder autrement, leur apporter un peu de joie en leur quotidien peu importe la forme.

Beau et touchant poème.

Amicalement Franie

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merci beaucoup ;

c'est un des tous premiers poèmes que j'ai publié ,voilà au moins cinq ans d'ici sur internet ;il a eu un certain succès (restons modestes !) et donc ça m' a encouragé ;et j'en suis aujourd'hui à plus de 500 poèmes publiés .

Je trouve honteux le regard désobligeant , voir mesquin et haut qu'ils portent sur ces pauvres êtres dans la rue !
A la vitesse ou va le monde on va bientot etre nombreux a tendre la main et a connaitre la honte ou le courage qu'il faut pour tendre la main sous des regards courroucés !
Merci de cet écrit nécéssaire
Mon amitié
Yohann

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la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,
qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,
yohann