Dans le fond de mon verre brisé
je lis tes pensées et tes reproches
Qui de plus en plus me rapproche
De ton univers aux yeux bridés
Qui peut arrêter ce tsunami
Qui fauche au hasard nos vies
Qui dans leur lutte sans répit
Brisent les frontières de la nuit
Rien ne pourra nous séparer
A pas feutrée la nuit se dérobe
Des étreintes répétées de l’aube
Et de ses morsures enflammées
Charef