An deux mille quatorze, enfin pour nous te voici Pour la poursuite des guerres on ne te dit pas merci Car on sait très bien que tu n'apporteras pas la paix Sur notre pauvre et triste monde, toujours imparfaitÂ
Mais peu importe, soyons fous, soyeux heureux Au moins pour le premier jour fermons les yeux Sur tout ce qui ne va pas à travers notre planète Soyons volontairement inconscients, faisons la fête