Ils se font gloire dans une société
Qui transforme l’homme en simple
Instrument à manipuler l’humanité
Devant des conquérants centuples
Qui, par les actions de méchanceté
Façonnent des obéissants disciples.
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Le monde change sans l’assistance
Des peuples, les malheurs prennent
Les racines des mots pleins d’arrogance
Que les envahisseurs marmonnent
Souvent loin de toute compétence
Sans descendre dans les arènes.

Tout devient galéjade lorsque le ciel
Crache les étincelles, la nuit déclenche
Les feux de détresse et le soleil
De justice reçoit les avalanches
De coups d’un temps, où tout se mêle.
Dans l’ombre d’un triste match.

J’utilise la voix la plus tendre pour
Exprimer la misère que sent l’enfant
Sans père, il ne saisit pas les discours
De ces hommes gueux et agonisants
Qui accusent sans cesse à tort
Celui qui contemple le soleil levant.

Dad Allaoua

wouah ! je partage votre cri du cœur ! c'est tellement vrai et bravo pour le poème.

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Oh! oh! dit le grillon, je ne suis plus fâché ;
Il en coûte trop cher pour briller dans le monde.
Combien je vais aimer ma retraite profonde !
Pour vivre heureux, vivons caché.
Le grillon. Jean Pierre Claris de FLORIAN

Merci pour ta lecture et pour ton commentaire sympa
Amitiés
Allaoua