L’auberge de la vie
Me fut le fond d’un cœur
Dans son nid de douceur
Bercé j’y ai dormi
Oubliant tous les cris
De la réalité
Et de loin la douleur
Tout m’y semble étranger.
Où en est la réponse ?
Sur le seuil j’y renonce
Et je laisse les gens
Assis dessus leurs bancs
Pour rejoindre le vent
Qui souffle sans penser
Ça y est , j’ai son secret.
Pierre-Louis SESTIER
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