Sa face est comme l'ambre
où demeurent les cendres,
sa voix est condamnée
au désert insonore.
On aperçoit son âme,
inviolée comme sable
que parcourent des vagues
d'une mer sans aurores.
Ses désirs se replient
en une veille furtive
que toute vie néglige,
un foyer sans lumière.
Et dans son corps de marbre
que le sculpteur délaisse
se perd l'oeuvre possible
de survivre dans l'autre.
Galia
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Il n'y a pas de chemin qui mène au bonheur....
....le bonheur est le chemin.