Comment ne pas t’aimer, mer de mes rêves,
Toi qui nous ravis par ta beauté immense,
Lorsque une vague s’en va, une autre recommence,
Toi qui sais me bercer et ma tristesse enlève.

Comment pouvoir t’oublier lorsque tu caressais
Mon corps, mon visage, mes cheveux ondulés,
Et que tu me réveillais en me mouillant les pieds
Lorsque le jour de ta marée montante, je m’endormais.

Sur le sable blond de ces plages ensoleillées,
De Cadix, cette presqu’île où je suis née,
Où je passais mes heures à te contempler,
Mer tout me fascines, tes ondes, tes flots agités.

Päquita