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Marin Marin.
Toutes voiles dehors, Le bateau s’arrache à la terre. Il tangue sur les flots, Au gré du vent.
Le vent qui forcit puis faiblit, La pluie qui fait place au soleil. Sans jamais laisser au marin, Le repos dont il a besoin.
Un jour soudain, Un coup de vent plus violent que les autres, Fait que tu t’en vas, Rejoindre la mer pour toujours.
Alors, le coeur est gros, Pour ceux qui t’aimaient et les autres, Les anonymes, Les passionnés comme toi.
Tes cendres alors, Emportées par le vent. Rejoindront l’océan, Que tu aimais tant.
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