Vertige . . .
Vertige . . .
Pourquoi suis-je sensible à ton corps envoûté
Qui chavire mon âme en un chant dérouté.
Le souffle de ta voix a ravivé mon coeur
Embrasant mes chagrins aux feux noirs de mes pleurs.
Ton regard enjôleur m'enchaîne dans la nuit
Ange mystérieux , ton ombre me poursuit.
J'ai cru t'apercevoir, un jour t'ai-je frôlée ?
Trésor tôt évanoui sur ma peau esseulée.
Tes yeux enfiévrés enflamment la chair du soir.
Comment t'oublierai-je, toi mon unique espoir ?
Je rêvais d'effeuiller cette fleur de jasmin
Qui enivre mon coeur, son doux parfum m'étreint.
Pascal
Le 21 mai 2014.